S’installer à Marseille à son retour d’expatriation

S'installer à MarseilleAh Marseille ! Plus ancienne commune de France, baignée de soleil une bonne partie de l’année, située au bord de la Méditerranée et à environ 2 heures des stations de ski. C’est là que Claire a emménagé avec sa famille après 20 ans en expatriation et que Cécile a vécu toute sa vie. Alors, comment vit-on à Marseille ? FemmeExpat a mené l’enquête.

 

 

Après 20 ans à l’étranger, le choix de Marseille pour son retour en France.

Claire et son mari ont trois garçons étudiants de 22 ans, 20 ans et 18 ans. Elle et sa famille ont quitté la France en janvier 2001, ont vécu au Québec pendant 4 ans. Ensuite, ils sont partis vivre 6 ans et demi à Barcelone, puis 4 ans à Madrid et 5 ans à Mexico. Ils sont rentrés en juillet 2020 et ont emménagé à Marseille.

Pourquoi Marseille ?

« À la fin de son contrat mexicain, on a proposé à mon mari plusieurs offres notamment en France. Jusqu’en juin 2020, Lille était notre future destination puis Marseille est sorti du lot. Le fait de vivre à l’étranger nous avait permis de prévoir des plans B, C et D et heureusement ! Car lorsque le déménagement à Lille est tombé à l’eau, il a fallu s’adapter… et l’un dans l’autre, Marseille offrait une qualité de vie plutôt attractive. Vivre au bord de la mer était un plus surtout en ayant vécu à Barcelone. De plus, une place en Terminale s’est débloquée pour notre cadet et pas mal de projets associatifs nous étaient accessibles à Marseille. »

Une vision parfois erronée de la cité phocéenne

Marseille a connu de grands changements urbains ces 22 dernières années qui ont permis de transformer progressivement la vision que les gens se faisaient de la ville, notamment Claire qui n’avait pas forcément gardé un très bon souvenir de Marseille et notamment du quartier de la Gare St-Charles (bien avant les réaménagements débutés au début des années 2000).

Mais ce n’est pas le seul quartier où des travaux urbains ont été initiés. Dès 2014, la plage des Catalans se voit dépossédée de sa dalle de bêton qui devenait trop dangereuse et à la place, une promenade a été aménagée. Pour redynamiser le bord de mer, un espace vert de 2,5 hectares a aussi été aménagée à l’Estaque.

De même, le quai du Port ne laisse plus accès aux voitures et la voie piétonne a été agrandie, pareil sur la Corniche Kennedy qui interdit les voitures depuis 2019 et offre une piste cyclable entre le parc Valmer et les plages du Prado. En clair, Marseille a su investir pour dynamiser et égailler ses rues et sa côte.

Les activités culturelles à Marseille

S’il y a moins d’activités culturelles à Marseille qu’à Paris, Marseille est un musée à elle seule ! Il y a bien sûr quelques musées comme le MUCEM, le Musée Cantini ou encore La Vieille Charité, mais vous pouvez aussi flâner dans un quartier, un passage, aller au marché sur le vieux port ou encore regarder la mer depuis les Terrasses du port.

Pour plus d’informations sur les visites à faire à Marseille, rendez-vous sur le site Marseille Tourisme.

Que faut-il savoir avant de s’installer à Marseille ?

Dans quels quartiers s’installer ?

Marseille s’est construite en regroupant des villages alentours qui sont ensuite devenus des quartiers, c’est pourquoi quand on vit à Marseille on parle de quartier et non en arrondissement.

Les 1e, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e arrondissements (Opéra, St-Charles, La Joliette, La Villette, Cinq Avenues, Les Chartreux, Le Camas, Castellane, etc.) sont très bien desservis à Marseille.

En revanche, les 7e, 8e, 9e 10e, 11e et 12e arrondissements (Bompard, Le Pharo, Ste-Anne, Périer, Mazargues, La Timone, St-Marcel, St-Julien, Les Caillols, etc.), calmes et aisés pour les familles, restent mal desservis.

Pourquoi ? La ville est installée sur des collines ce qui empêche le développement du réseau ferroviaire et les lignes de tramway suivent l’axe des lignes du métro ce qui ne dessert pas toute la ville. Par exemple, le métro 2 va jusqu’à Ste-Marguerite Dromel dans le 9e arrondissement puis il faut prendre le bus ou la voiture. Aussi, dans ces quartiers il n’y a pas beaucoup de commerces de proximité.

Il en va de même pour aller à la plage, le tramway ne va malheureusement pas jusqu’au bord de mer, il faut donc nécessairement prendre le bus ou y aller en voiture, en espérant trouver une place pour se garer, ce qui n’est pas gagné.

De manière générale, il est difficile d’aller dans ces quartiers avec les transports en commun donc prévoyez une voiture. Cécile qui est née et a vécu à Marseille toute sa vie nous dit « Si ce sont des quartiers « chics », ils sont finalement moins connus sauf de leurs habitants ».

Claire concède que le 8e arrondissement est moins vivant mais la pollution sonore est moindre. Habitant dans le quartier Périer (à cheval entre le 6e et le 8e arrondissement), l’hypercentre (pour faire les courses) et le bord de mer restent accessibles en voiture, en bus, à pied ou à vélo. Toutefois, tout le 8e arrondissement n’offre pas une telle desserte.

Ce qu’on entend sur les quartiers nord de Marseille est-il vrai ?

Cécile nous dit « Ces quartiers sont mal desservis ce qui accentue le clivage et l’exclusion. Ce qui les a éventuellement redynamisés est le centre commercial Grand Littoral mais en général, il est risqué d’y vivre ou de s’y rendre en métro ou en bus à cause des possibles braquages et agressions dans les 14e, 15e et 16e arrondissements ».

De mon côté, je n’ai jamais été agressée ni embêtée, de jour comme de nuit même en ayant vécu à Marseille toute ma vie. Marseille, c’est grande famille et malheureusement on paye la réputation qu’on nous a faite ».

Quant à Claire, en revenant du Mexique, sa sensation d’insécurité était forcément différente et lui permettait de relativiser. En se rendant ponctuellement dans les quartiers nord pour de l’aide aux devoirs, elle ne s’est pas sentie en danger mais il faut toujours faire attention. Selon elle, le fait que les quartiers nord fassent partie de Marseille changent les statistiques concernant la qualité de vie et la sécurité que l’on peut avoir sur place, au même titre que si le 93 était intégré à Paris.

Alors qu’est-ce qui plaît à Claire après toutes ses expats ? C’est une ville vivante, à l’image du Québec ou de Mexico. D’un quartier à l’autre, la perception de Marseille change du tout au tout : Le Panier, quartier historique de Marseille, renvoie par exemple à un village typiquement provençal avec un côté très pittoresque.

Les écoles pour vos enfants expats à Marseille

Si vous emménagez à Marseille et que vous souhaitez que vos enfants soient scolarisés dans une école internationale, vous pouvez opter pour l’International School of Marseille (ISM) qui accueille des enfants de 2 à 11 ans et leur enseigne le français et l’anglais. L’école est située au 27 Boulevard de la Corderie dans le 7e arrondissement.

Pour plus d’informations sur l’ISM, rendez-vous sur leur site.

Pour le collège et le lycée, vous pouvez vous tourner vers le collège et lycée Marseilleveyre située au 83 Traverse Parangon dans le 8e arrondissement et qui propose des sections espagnoles, italiennes, arabes et anglaises bien que ce ne soit pas une école internationale.

Pour plus d’informations sur le collège Marseilleveyre, rendez-vous sur leur site, et pour le lycée Marseilleveyre, rendez-vous sur leur site.

Sachez également qu’une cité scolaire internationale verra le jour à Marseille en 2024 et accueillera des classes allant du CP à la Terminale. Le projet lancé en 2015, dispensera des cours en cinq langues différentes (anglais, espagnol, allemand, mandarin, arabe) en plus du français et sera gratuite et ouverte à tous les élèves ayant le niveau pour rentrer.

Claire, dont le cadet rentrait en Terminale, a fait le choix de le mettre en établissement scolaire non international mais impossible de lui trouver une place en section européenne « Cela m’a fait beaucoup hésiter car mon fils a un profil international. Il parle espagnol, anglais et français, ayant été en lycée français à Barcelone, Madrid et Mexico et en lycée bilingue espagnol-anglais à Madrid pendant 2 ans. Heureusement, le fait d’avoir une mixité culturelle à Marseille l’a davantage intéressé et d’ailleurs aller à Aix le rebutait quelque peu car la ville lui paraissait trop petite.

S’intégrer à la vie marseillaise

Les principaux avantages et inconvénients à vivre à Marseille

Claire adore le climat méditerranéen, habiter au bord de la mer (avec le parc national des Calanques collé à Marseille) et le côté chaleureux des habitants. Aussi, Marseille est une ville multiculturelle et en ayant été immigrée, sa famille a pu ressentir le fait d’être étrangère. Vivre dans une ville faite par plusieurs vagues migratoires (italiennes, arméniennes, etc.) est une richesse. Marseille est une ville pleine de traditions culturelles, gastronomiques, provençales (marché des Santons) et a un parler savoureux. C’est aussi une ville bien desservie (TGV, aéroport) et petit plus, elle propose du Wi-Fi gratuit à tous les Marseillais et visiteurs et a accueilli en décembre 2020 la 5G !

Côté inconvénients, Claire ressent souvent de l’incivilité dans les transports en commun. Cécile le confirme : dans les transports en commun, les gens parlent forts, écoutent la musique sans écouteurs et sont vifs tandis que les automobilistes ne respectent pas forcément le code de la route. Cécile ajoute que Marseille est une ville sale malgré la fin en 2014 du « fini-parti », tradition vieille de 70 ans chez les éboueurs qui leur permettaient de quitter leur poste une fois leur service terminé.

Le marché de l’emploi à Marseille

Trouver du travail à Marseille reste compliqué alors autant s’y prendre à l’avance. Si cela reste assez facile dans les métiers du tourisme (restauration, musées, etc.), pour d’autres secteurs (banque, mairie, etc.), cela fonctionne souvent par le bouche-à-oreille ! Le réseau reste très utile dans la cité phocéenne pour trouver du travail ou même une place en crèche pour son enfant.

En arrivant à Marseille, Claire a eu un an pour préparer un master 1 en Sciences de l’éducation ainsi que le CAPES. Elle enseigne actuellement, dans la continuité de son expérience à l’étranger.

L’immobilier reste abordable à Marseille mais plus difficile avec le Covid !

Par rapport à d’autres villes françaises, Marseille n’est pas une ville très chère, notamment pour l’immobilier, on trouve des locations et de l’achat à des prix plus abordables qu’à Paris ou à Lyon.

Si les quartiers du centre-ville comme les 4e et 5e arrondissements sont plébiscités pour leur qualité de vie et leur animation, les quartiers plus éloignés de l’hypercentre comme le 7e arrondissement ou le 8e arrondissement attirent pour leur calme.

Pensez néanmoins qu’il faut un dossier solide avant de se lancer dans la chasse au logement à Marseille. D’autant que depuis 2020, le prix de l’immobilier dans la cité phocéenne a grimpé de 20% même si cela est de manière disparate. Et oui ! Paris, la grisaille et les immeubles à perte de vue attirent moins, le soleil, la mer et les cigales bien plus.

Pour Claire, il y avait peu d’offre de logements dans les 6e, 7e et 8e arrondissements à son arrivée à l’été 2020 comme le confirme le Baromètre LPI-SeLoger d’août 2020.

À l’inverse, dans le 4e arrondissement, Cécile a trouvé qu’il y avait beaucoup d’offres d’appartements à la location et à l’achat mais qui nécessitent cependant des travaux. En juin 2020, elle a loué un 62m2 pour 755€/mois. Tout dépend donc du budget.

D’après le baromètre LPI-SeLoger de janvier 2022 « la hausse des prix de vente touche presque la totalité de Marseille. Sur les 16 arrondissements que compte la ville, 14 voient leurs prix augmenter ».

S’installer à Marseille à son retour d’expatriation

Pour plus d’informations sur le prix de l’immobilier à Marseille en janvier 2022, rendez-vous sur SeLoger.

Quelques sites utiles à connaître pour s’installer, trouver du travail et des forums d’expatriés

Trouver une communauté internationale à Marseille n’est pas chose facile. Pour
Claire qui n’a pas pu préparer son arrivée à Marseille, ce n’est pas tant le groupe d’expatriés vivant sur place qui l’a aidé, en revanche le réseau d’ami(e)s qu’elle a développé pendant 20 ans s’est démultiplié au fil des années et lui a permis d’avoir des contacts à Marseille qui ont eux-mêmes vécu à l’étranger.

Vous avez besoin de conseils pour vous installer à Marseille mais ne connaissez pas les quartiers, misez sur le site Made in Marseille qui traite de l’économie, de l’environnement, des transports, des bons plans, etc.

Si vous souhaitez faire de l’associatif, l’association Le Valdocco vous permettra de faire du soutien scolaire comme Claire qui, en formation, voulait garder le contact avec les étudiants. Vous pouvez aussi distribuer le dimanche des petits déjeuners aux sans-abris avec la paroisse Saint Ferréol du Vieux-Port à Marseille.

Sachez qu’il existe une page Facebook MyNewsMarseille qui encourage l’entraide à Marseille ce qui pourrait plaire aux expatriés comme Claire car ce groupe reprend le système de bons plans et de solidarité à l’étranger entre expatriés.

Vous partez vivre à Marseille à votre retour d’expatriation, vous devez vous organiser le plus tôt possible, avant même votre retour en France même si la signature du bail se fait sur place.

Contacter une agence immobilière peut être une solution pour que l’on vous propose efficacement des logements, néanmoins pensez qu’il faudra payer la moitié des frais d’agence avant de trouver votre logement. Voici quelques liens utiles pour trouver votre bien à Marseille :
MyMarseille
Orpi
Marseille Immo
LaForêt

Et sinon il y a aussi le diffuseur d’annonces immobilières Se Loger

Pour trouver du travail, vous pouvez visiter les sites suivants :
Indeed
PACAJOB
La French Tech


Un dernier message pour vous convaincre que Marseille pour les expats c’est une trop bonne idée ? Marseille est une ville cosmopolite, chaleureuse et vivante qui permet un retour en France en douceur. En tant qu’expatriée, vous vous êtes peut-être impliquée dans la vie associative à l’étranger et c’est quelque chose que vous retrouverez à Marseille, grande ville à proximité de la mer, avec plus de diversité et des Marseillais ouverts à la discussion et curieux d’en connaître davantage sur vous.

Chloé Nabavi

Le parcours de Sandrine, a créé sa société de relocation en Provence après ses expatriations

En 2014, nous avons publié le portrait de Sandrine, qui a créé sa société de relocation en Provence, à son retour d’expatriation. N’hésitez pas à la contacter de la part de FemmExpat.com  !

« C’est  à Düsseldorf que nous nous sommes installés en août 2008 après un voyage entier avec la boule au ventre… Nous avions décidé que je ne travaillerais pas là-bas pour plusieurs raisons : la première, l’Allemagne n’est finalement pas très organisée pour les mamans qui travaillent, et la seconde, pour nous la plus importante, était de recréer le lien avec nos enfants et de nous en occuper.

Paniquée à l’idée d’arrêter de travailler, j’avais passé le message avant même notre arrivée, de ma disponibilité pour tout type d’activité. Par chance, la garderie de l’école française cherchait sa trésorière, je me suis précipitée sur l’opportunité et suis rentrée dans le conseil d’administration de l’association. Quelques mois après notre arrivée, j’ai intégré également l’équipe internet de Düsseldorf Accueil afin d’assurer la coordination du site. Ces deux activités bénévoles m’ont énormément apporté. Elles m’ont en tout premier lieu permis de rencontrer et connaitre beaucoup de monde et ont grandement facilité notre intégration. Elles m’ont ensuite et surtout permis de rester active. La seconde association m’a également permis d’approcher le monde de l’internet ce qui m’a été d’une grande aide quand, à notre retour en France, j’ai dû monter et référencer mon propre site. Ces expériences m’ont également fait réaliser que de nombreuses autres activités m’étaient ouvertes et que je pouvais tout à fait, à notre retour, garder cette perspective et me lancer dans une activité qui me serait propre, et me permettrait de conserver une flexibilité pour ma famille.

Quand les discussions sur notre fin de séjour en Allemagne ont commencé et que la question s’est posée de la suite, l’unique certitude que nous avions était d’éviter le retour à Paris. Coût de l’immobilier, rythmes, temps de transport, tout cela nous était inimaginable après la qualité de vie que nous avions trouvée en Allemagne. C’est finalement une société allemande qui a contacté mon mari pour un poste en Provence. L’attrait du sud étant certain, et le fait que j’en sois originaire, c’est dans cette belle région que nous sommes installés depuis 2012 après 4 années d’une vie à Düsseldorf faite de rencontres fantastiques et d’enrichissement personnel et familial extraordinaire. Nous y avons adoré notre séjour et les gens que nous y avons rencontrés. Nous en gardons, un groupe d’amis précieux, et une forte unité familiale. L’expatriation, même si elle n’a pas toujours été toute rose, nous a apporté une ouverture d’esprit et une adaptabilité infiniment précieuse dans le monde actuel.

provenceA notre arrivée en Provence, plusieurs activités donc me venaient à l’esprit mais c’est surtout celle de la relocation qui me trottait en tête.

En effet, nous avions bénéficié de ces services à notre arrivée en Allemagne et j’avais été époustouflée de la fabuleuse valeur ajoutée que ces prestations peuvent avoir sur la réussite de la mobilité. Prise en charge de la recherche de notre logement, immatriculation de la voiture, contrats téléphoniques, internet, nous avions été accompagnés par une équipe de choc et avions pu démarrer sereinement notre vie là-bas.

N’ayant aucune formation concrète sur le sujet, j’ai contacté le SNPRM* (Syndicat National des Professionnels de la Relocation et de la Mobilité) qui organisait une formation aux ¨fondamentaux du métier¨. J’ai suivi cette session et ai pu lancer ma petite entreprise.

C’est en tant qu’auto-entrepreneur que j’ai choisi de démarrer. En effet, mon suivi de conjoint ayant été suspendu le temps de notre expatriation, je bénéficiais, à notre retour d’une aide à la création d’entreprise sous forme de taux réduits de cotisations. En outre, c’était le statut qui semblait le plus facile à mettre en place. Ce n’est en fait pas une évidence et j’ai perdu et perds toujours beaucoup de temps en administratif auprès d’organismes sociaux tels que l’URSSAF ou le RSI/CIPAV.

Le véritable défi pour moi a été, et est toujours, de me faire connaître. En priorité au travers de mon site internet www.sinstallerenprovence.fr et par le démarchage des entreprises de la région. Ensuite auprès des autres membres de la profession qui sont susceptibles de me sous-traiter certaines de leurs missions.

Site internet : S’installer en Provence
Contact : sandrine@sinstallerenprovence.fr

 

 

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