Ma plus belle rencontre en expatriation, c’est…

BelleRencontreExpatriation

L’expatriation est synonyme de tant d’enrichissements ! Au premier rang desquels, les rencontres… Vous avez été nombreuses à témoigner pour nous raconter votre plus belle rencontre d’expat. Voici quelques morceaux choisis en 2015 : n’hésitez pas à compléter !

Ma plus belle rencontre en expatriation, c’est ma famille

Dans l’équipe de la rédaction, nous avons été touchées par le récit de cette rencontre (et on ne s’attendait pas à cela) :

Ma plus belle rencontre en expatriation, ce sont… Mes enfants !  « J’ai toujours été une executive woman avec une vie bien remplie des activités, un mari et tutti quanti ! La société de mon mari lui a proposé un super poste à 10000 km et dans l’audit, pas de télétravail. Donc j’ai tout lâché. Et suis partie 3 ans avec un garçon de 7 ans et une fille de 5. J’ai alors rencontré deux êtres fantastiques qui seront des rencontres déterminantes de ma vie. Le plus irréel de l’histoire est cette réflexion de mon fils. Quelques mois après notre arrivée en Chine : « en fait, on se connaissait pas bien avant le départ « . Il y a maintenant un an que nous sommes rentrés. J’ai repris mon travail, certaines activités mais avec mes deux nouveaux amis nous sommes devenus très fusionnels ! »

Des « presque-cousins »

Ma plus belle rencontre en expatriation : une famille formidable !

« Tout a commencé fin 2008. Mon mari (que je ne connaissais pas encore à cette époque), part en Guyane en tant qu’expatrié pour une entreprise de travaux. Il rencontre là-bas une famille avec 2 enfants, qui l’inviteront à passer avec eux son premier Noël seul, loin de la famille… Je rencontre mon mari en 2010, et nous retrouverons cette famille en Guadeloupe où nous vivrons et partagerons beaucoup de bons moments de 2011 à 2012. Le temps passe, ils auront une 3eme puis une 4ème fille, et nous, nous déciderons de nous marier. Un soir de décembre 2012, alors que nous sommes allés passer les vacances de noël chez eux à La Réunion (leur nouvelle destination), nous leur demandons d’être tous les deux témoins à notre mariage, et eux, demandent à mon mari d’être le parrain de leur petite dernière !!!

Depuis 2008, un lien particulier nous uni, la plupart des Noëls nous les avons passés avec eux (en Guadeloupe, à New York, à La Réunion), nous nous organisons pour pouvoir partir ensemble en vacances quand c’est possible, malgré la distance qui nous sépare tout au long de l’année car nous sommes maintenant au Congo Brazzaville et eux toujours à La Réunion. Depuis 2008 nous avons partagé les moments les plus importants d’une vie: mariage, grossesse, baptême, anniversaires et vacances!! Une vraie amitié est née, celle qui traverse le temps et l’espace ! Pas besoin de se voir souvent ou de se parler tous les jours pour partager de bons moments et rester proches ! »

Les rencontres extraordinaires de l’expatriation

L’expatriation permet aussi, parfois, des moments magiques, un peu hors du temps. Voici une rencontre hors du commun, la rencontre d’un véritable « personnage », au sens noble du terme. Quelqu’un qui change votre regard sur la vie et vous marque à jamais.

BelleRencontreExpatriationPèreCeyrac

Ma plus belle rencontre en expatriation, c’est le Père Ceyrac, à Chennai, en Inde.

« Chennai, Inde 2005, Loyola college. J’ai fait la rencontre du Père Ceyrac, une rencontre qui a changé ma vie, ma vision des choses…Ca été des moments très fort qu’il nous a fait partager, dans des écoles, avec les lépreux, avec les pêcheurs, à la reconstruction après le tsunami, toujours œuvrer pour les plus pauvres pour les intouchables. Il est décédé au printemps 2012 laissant derrière lui un grand vide… c’était un grand homme il vivait pour les autres il est arrivé très jeune en Inde et il voulait y mourir, son vœu à été réalisé. Heureusement l’association est là pour continuer son œuvre. »

Et bien sûr les amitiés extraordinaires de l’expatriation

Pour beaucoup d’entre vous, la plus belle rencontre en expatriation, c’est celle de cette fille-là, cette amie qu’on n’aurait pas connue sinon, et dont la présence rend le séjour si beau.

Les amitiés françaises si inattendues

L’expatriation est l’occasion d’un grand brassage des régions françaises, mais aussi des âges. L’une de vous nous parle de son amie de Moselle, rencontrée en Polynésie, et qu’elle n’aurait jamais rencontrée en métropole… la preuve, pour elle, que cela vaut le coup de s’intéresser aux français !

« La chieuse de Moselle »

Ma plus belle rencontre en expatriation c’est mon amie… dite « la chieuse de Moselle » « Certains disent qu’ils ne sont pas là pour ça, pas là pour rencontrer des Français, pour rencontrer ces gens qu’ils auraient pu rencontrer en France. Je n’en fais pas partie, je suis quelqu’un de réservé et je ne place pas ma confiance facilement. Je me suis aperçue que la France est grande, il a fallu que je parte pour 4 ans en Polynésie pour me rendre compte de cela. En Polynésie, il y a beaucoup de régions représentées par les expats. Certains viennent de Marseille, d’autres sont Bretons, certains n’ont jamais quitté la capitale quand d’autres en sont à leur 3ème expatriation, certains ont 20 ans quand d’autres en ont 50. Bref, l’expérience de certains et les différences ont enrichi mon expatriation. Au bout de quelques semaines d’installation, à un « tea Time » organisé par plusieurs « popaa » (les blancs à Tahiti), j’ai rencontré celle avec qui j’ai partagé énormément de choses pendant les deux premières années de notre expatriation.

Les moments de rire, de larme, de colère, de gaieté, je les ai passés avec Anne, surnommée « la chieuse de Moselle ». Je viens d’Avignon et je passai mon temps avec la mosellane rigolote. Sans elle, la « fête » aurait été beaucoup moins drôle. D’ailleurs, elle est partie en juin et la vie d’expat est moins palpitante, elle me manque énormément, atrocement et quelquefois douloureusement. Elle était mon rayon de soleil de la journée et même si mon expérience demeure merveilleuse, certains jours elle me paraît moins palpitante sans ma merveilleuse amie d’expatriation; ma chieuse de Moselle… alors ne vous laissez pas limiter dans vos rencontres par les clichés sur l’amitié entre français car croyez bien que je ne l’aurais jamais rencontrée en France… »

Nina, ma voisine française de 90 ans

Ma plus belle rencontre en expatriation, c’est Nina, « ma petite voisine française de 90 ans ». « Été 2009 – La Jolla – Californie, au fond de mon garage en train de défaire mes cartons avec mon mari, nous voyons venir à nous notre nouvelle voisine, une dame d’un certain âge, très belle et très souriante. Elle nous parle en français et voulant la féliciter pour son français parfait, elle me répond un peu sèchement qu’elle est française et vit aux US depuis 1948 et que nous sommes ses premiers voisins français, elle en est très heureuse! Cette rencontre, depuis, je la savoure chaque jour. J

‘ai rencontré une très belle personne, passionnante (ancienne anthropologue), marrante, complice et tellement gentille que toute la famille l’a adoptée même notre chat, son petit diable comme elle l’appelle. On a ri et pleuré ensemble, on a fêté des Noel, partager de bons moments au restaurant…

Chacune a appris de nouvelles choses à l’autre comme dire « computer » en français car en 1948 ca n’existait pas, on a ri de bêtises comme confondre « meat ball » avec « mooth ball » a la droguerie (histoire véridique arrivée à la maman de Nina qui ne comprenait pas pourquoi le droguiste lui disait d’aller à la boucherie). Nina a aujourd’hui plus de 90 ans et reste tellement jeune dans sa tête, je voudrais être comme elle, c’est une amie très proche, mes enfants l’adorent et elle nous manque chaque jour depuis que nous sommes partis pour le pays du soleil levant il y a deux mois. Je lui envoie mes péripéties nippones et je la fait bien rire avec mes histoires de bestioles, de produits que je ne trouve pas… et bientôt, je vais avoir le plaisir de la revoir. Elle est toujours dans mon cœur et dans ma vie, Nina, ma petite voisine française. »

 

Et les amitiés internationales en expatriation

Ces amies qui viennent d’un autre pays, d’un autre monde, et avec qui, pourtant, nous avons tant à partager.

Ma plus belle rencontre en expatriation, c’est Makiko

Makiko San. « Mon amie japonaise s’appelle Makiko. Pour elle, je m’appelle Anne. Trop compliqué Anne-Laure. La première fois que nous nous sommes parlé, c’était lors d’une soirée organisée par une école franco-japonaise de Tokyo. J’avais chaud de stress de me dire que je devais déjà parler japonais. Heureusement, Makiko et son français parfait sont venus me sauver.

Elle adore la France et moi, j’adore son pays, le Japon. Je crois qu’elle est plus française que moi car elle connaît mieux la France que moi et les acteurs français plus particulièrement. Je connais plus le Japon qu’elle, voilà ce qu’elle aime me dire souvent en rigolant, car je profite de mon expérience de conjointe expatriée au maximum. Voyages, balades, nourritures, expériences diverses… Ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas avec Makiko que je peux découvrir la nourriture japonaise. Elle adore manger dans de chics restaurants qui frôlent la cuisine occidentale.

Alors je négocie toujours avec elle. Une activité française, une activité japonaise. Oui, la nourriture est une activité car c’est un moment d’échange pour nous deux. Elle me pose des questions personnelles, sur les français et moi aussi, j’en profite pour qu’elle réponde aux vingt questions que j’ai ramenées écrites sur un papier, pour ne pas oublier. J’aime connaître la vérité sur cette culture et c’est grâce à Makiko que je découvre de nombreux détails croustillants. Et pourtant je reste consciente qu’à certaines de mes questions, je n’aurai jamais l’explication car elle-même ne connaît pas la réponse.

Makiko, c’est aussi une belle femme, pétillante, souriante et mince, trop mince à mon goût et elle le sait. Toujours à faire attention à ce qu’elle mange alors que moi, je me ressers toujours trois fois. Les restaurants que choisit Makiko sont toujours excellents et abordables et c’est agréable.

Elle est très forte pour organiser et trouver des lieux sympas. Mais ce que je préfère faire le plus avec Makiko, c’est aller au cinéma. Me retrouver entourée par des japonais admirateurs du cinéma français. Ah oui parce qu’avec Makiko, je vais voir des films français.

Je vous entends rire. Elle aime s’imaginer jouer à la place de ces célèbres comédiens, presque plus célèbres au Japon qu’en France et même vivre dans ce pays si aimé des japonais et pourquoi pas au bras d’un beau français. Par contre, cette semaine, c’est un film japonais que j’ai demandé à voir avec Makiko. Elle a dû être surprise de ma demande, elle a dû se dire que je n’allais rien comprendre mais pour moi les films japonais sont mystérieux et enrichissants, comme la vie des japonais. Makiko est mystérieuse et enrichissante. Merci à toi Makiko de faire partie de mon aventure japonaise. Trois ans, c’est quoi dans une vie alors profitons ! Allons mater des films en français ! Ah je sens déjà Makiko me demander au prochain rendez-vous… « Que signifie le mot ‘mater’ ? ». »

Mon amie Roberta

Ma plus belle rencontre d’expatriation, c’est Roberta, pour « our lovely coffee » et tellement plus. « Mon fils Guillaume jouait au rugby avec Ethan et sa maman m’a invitée à un apéritif. J’ai rencontré sa voisine Roberta, une Italienne. Le courant est passé immédiatement et nous avons décidé de parler anglais ensemble, cela devint « our lovely coffee », tous les mercredis de 9h à 10h. Nous avons créé ensemble un book-club pour nous obliger à lire en anglais. A la fin, nous étions 8 ! Puis Roberta a dû rentrer à Rome et je suis restée deux ans à Londres. Nous avons alors institué un Skype hebdomadaire pour continuer à papoter anglais. Alors nous sommes allés à Rome lui rendre visite et nous nous sommes vues à chacune de ses visites à Londres.

Nous discutons à chaque fois comme si on venait de se quitter. Notre complicité est évidente et on se confie énormément nos soucis quotidiens car on sait qu’il n’y aura ni jugement, ni reproche, mais au contraire une envie d’aider et de proposer des solutions. Durant nos Skype, il y a toujours des moments de rire ou d’émotion, ce n’est jamais convenu ou artificiel. Elle fait vraiment partie de ma vie, même si on sait qu’on ne se verra pas souvent « en vrai ». Je vais apprendre l’italien et elle va apprendre le français : ce devrait donner des conversations amusantes ! Elle restera une des plus rencontres londoniennes. »

Ma voisine sud-africaine à Rome

Ma voisine Sud-Africaine à Rome, grâce à qui je suis devenue peintre. La rencontre avec Mariette a changé ma vie, complètement ! Radicalement. Nous venions de déménager dans notre deuxième maison à Rome. Nous nous sommes retrouvés dans un « casale » où vivent plusieurs familles et nos plus proches voisins étaient Sud-Africains. A peine quelques mots échangés en anglais et j’ai su que Mariette et moi allions devenir amies : artistes dans l’âme, enthousiastes et sensibles à l’art toutes les deux, nous avions beaucoup de points communs. Un jour elle a frappé à la porte toute excitée, elle venait de recevoir un livre d’une artiste américaine qu’elle admirait. Je ne connaissais pas cette artiste et je commençais tout juste à peindre.

Mariette m’a offert le livre (et s’en est commandé un autre). Ce que j’ai découvert à ce moment-là a été extraordinaire, j’ai enfin su que j’avais trouvé « ma voie » et que c’était cela que je voulais faire. Depuis, j’ai pris des cours online avec cette artiste américaine, je fais partie d’un groupe d’artistes internationales, j’ai rencontré bon nombre d’artistes qui vivent dans le monde entier. J’ai quitté mon travail et je suis désormais artiste peintre professionnelle. Un changement radical, qui a fait de moi une femme épanouie et heureuse. Mariette est ma meilleure amie, même si je suis revenue en France et qu’elle est retournée vivre au bout du monde, notre amour et notre complicité nous rendent inséparables! Cette femme est une des plus belles rencontres de ma vie, et je la porte dans mon cœur pour toujours.

Ma rencontre avec mon amie espagnole… de Chine !

Mon amie espagnole… de Chine ! Nous habitons en Chine, dans une ville où il y a très peu d’expatriés. Mon amie est Espagnole. Mais elle a appris, très vite, à parler Français avec un magnifique accent Espagnol. Elle est pétillante, énergique, franche, rigolote et elle parle bien le chinois ! Elle, elle habite en Chine depuis 5 ans. Pour nous, c’est une 1ère expat. Elle m’a appris comment aborder les gens de ce pays, comment vivre – survivre – l’expatriation au mieux… et surtout, elle m’a appris ce qu’est la « famille d’expat » : la solidarité, l’entraide!!

L’amour, l’amooooooouur !

Et n’oublions pas nos petits cœurs… Pour certaines, la plus belle rencontre en expatriation : c’est l’être cher. Love love love ! On est tous shakras ouverts, on se balade sur l’avenue le cœur ouvert à l’inconnu, sans forcément attendre quoi que ce soit de précis, et paf, voilà qu’on rencontre THE big love. Mais oui, expatriation rime aussi avec amour !

Ma plus belle rencontre en expatriation, c’est mon futur époux et le père de mes deux garçons

Ma plus belle rencontre en expatriation, c’est… Mon futur époux et le père de mes deux garçons. « Je suis partie vivre en Angleterre après mes études en LEA à Nantes. J’ai fait plusieurs boulots dans des restaurants, des pubs, du telemarketing… Au bout de 3 ans j’en ai eu marre de ce pays où il pleut et il fait froid, où la vie est chère et où les gens courent toujours après je ne sais quoi. J’ai déclaré à ma famille que je reviendrai en France avec mes cliques et mes claques à l’occasion du mariage de ma copine Nathalie l’année suivante. Mais entre-temps j’ai trouvé un travail dans une entreprise de support informatique par téléphone. C’est là que j’ai rencontré Jonathan. Nous avons emménagé ensemble tout de suite, au grand effroi de nos parents respectifs, vous vous en doutez. 18 ans de vie commune plus tard et 2 enfants de 7 et 5 ans, nous allons nous marier dans 15 jours… Le pays est toujours aussi pluvieux et froid, la vie est toujours aussi chère et les gens courent toujours, mais c’est mon « chez moi ». »

L’homme de ma vie

Ma plus belle rencontre en expatriation ou comment j’ai rencontré l’homme de ma vie. Nous sommes en 2011, dans une petite ville du sud de la France. Je viens de réintégrer le giron familial à 40 ans avec mes cartons, sans projet particulier et m’interroge profondément sur le sens de la vie. Le téléphone sonne : « que penserais-tu d’une mission de quelques mois à l’étranger ? » Pas encore tout à fait réveillée, je confirme mon intérêt pour la mission et ce n’est que quelques heures plus tard, apprenant mon départ pour le lendemain matin, que je commence à réaliser le défi qui m’attend. Les premières semaines ne sont pas de tout repos, tout est nouveau et mes journées s’achèvent le plus souvent après 22h. Parmi mes rares collègues, il y en a un qui semble bien être calé sur mon rythme de travailleuse nocturne. De jours en jours, ou devrais-je dire de soirs en soirs nous apprenons à mieux nous connaître… La neige aidant, il me propose de me déposer devant chez moi une première fois, puis une deuxième, puis tous les soirs. Ces trajets sont l’occasion d’échanges riches et passionnés sur tous sujets autres que professionnels ; une vraie bouffée d’oxygène et le départ d’une merveilleuse amitié. Au fil des semaines, nous décidons de transporter le terrain de nos conversations de la voiture vers des endroits plus accueillants (restaurants, petits bars). Je me sens moins seule et malgré la quantité de travail qui ne cesse d´augmenter, je me réjouis de ce que je continue à voir comme « un tremplin professionnel ». Mais… parce que les contes de fées n’arrivent pas qu’aux autres… et que le résultat escompté n’est pas toujours celui que l’on attend, me voici 4 belles années plus tard, toujours à l’étranger, dans un tout autre métier… et surtout accompagnée du plus merveilleux homme qu’il m’ait été donné de rencontrer !

La solidarité

 En expatriation, on vit parfois des moments d’une forte intensité dramatique : confrontés aux catastrophes naturelles, aux risques politiques… souvent, la communauté expatriée se resserre dans un immense élan de solidarité. C’est ce dont nous parle cette lectrice : « Pour moi, la plus belle rencontre en expatriation, ce sont tous ceux qui étaient présents après le 11 mars 2011 (au Japon) ou qui sont revenus après quelques jours d’absence…Nous nous retrouvions en petit nombre, un peu hagards, un peu « sonnés », mais cela a créé un lien et resserré un lien déjà existant. Et ensemble nous sommes repartis dans une vie nippone. »

 

Merci à toutes pour vos témoignages ! Merci de partager avec nous vos histoires, si riches et si intenses !

N’oubliez pas, si vous souhaitez apporter votre témoignage d’expatriée, vous pouvez soit nous envoyer un e-mail (editorial[at]femmexpat.com), soit le faire directement dans l’espace prévu à cet effet sous cet article. On sera ravies de vous lire et, le cas échéant, de vous publier ! A bientôt !

FemmExpat vous recommande les articles suivants :

Les expats sont solidaires – témoignages.

Ma soeur ou ma meilleure copine d’expatriation

On s’était dit : rendez-vous dans 10 ans…

Tout le monde s’en va, je suis celui qui reste

Mes amies de toutes les couleurs

 

bouton Abonnement NL FXP- 350x150

 

Autres articles dans la catégorie

  • Echangez avec d’autres expats !

  • Nos conférences en ligne

  • Podcast

  • Agenda

  • Rejoignez-nous sur Instagram !

  • Qu'apprend-on en expatriation ?

    Avec l’expatriation, comment change notre regard sur notre pays d’origine ?

    Et notre perception de la santé, de l’éducation, ou notre rapport au travail ?

    Et puis…

    Comment se forme-t-on ? Dans quels domaines ? Que transmet-on ?