Restez zen… apprenez le japonais !

Partir au pays du soleil levant ? Un rêve familial qui se transforme enfin en réalité. Toute la famille, fan de mangas, se met à regarder les animés en version originale. Sauf que l’enthousiasme retombe vite car la langue japonaise est réputée ardue. Et si le japonais n’était pas si difficile que cela ? Une fois l’étrangeté de cette langue non latine dépassée, vous ne pouvez que vous perfectionner et comprendre enfin le fondement du célèbre keigo. Le Cned donne les clés pour apprendre et vous perfectionner à distance.

 

 

 

Apprendre le japonais à distance

Le Cned est un opérateur public de l’enseignement et de la formation à distance depuis plus de 80 ans. Acteur reconnu et bien implanté dans le secteur, il propose des formations pour débuter l’apprentissage d’une langue ou perfectionner sa pratique écrite et orale. Les possibilités sont nombreuses : anglais, espagnol, portugais, chinois, arabe ou encore japonais.

En suivant les orientations du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL), l’enseignement du japonais s’est transformé pour devenir plus accessible et surtout pour associer enseignement de l’écrit et de la langue parlé. Dans cette optique, le Cned couvre l’ensemble des compétences linguistiques, écrit et communication orale et propose de faciliter l’apprentissage grâce à une méthode hybride qui repose sur des documents écrits et des services en ligne sur la plateforme de formation.

Restez zen… apprenez le japonais !

Pour chaque niveau, – pour les débutants (A1) au plus expérimentés (B1) -, les cours s’articulent autour d’unités qui mêlent des éléments de connaissance de la culture japonaise, la communication, la grammaire et l’apprentissage des kanji. Le tutorat et l’encadrement sont permanents, et les évaluations sont assurées par des professeurs de japonais et de locuteurs natifs.

Le Cned vous permet ainsi d’étudier à votre rythme, grâce à une méthode en trois étapes qui fonctionne dans l’ensemble des cours qu’il propose : l’intégration des apports théoriques, l’entraînement grâce à l’autocorrection et l’évaluation personnalisée.

 

« Peu est meilleur que rien »

Selon cet adage japonais, il faut savoir se contenter de peu ! Et, effectivement, peu de français s’attellent au japonais. On ne sait d’ailleurs pas très bien combien ils sont, ces apprenants de japonais, répartis dans 70 établissements en France. Près de 20.000 en 2015, nous dit Monsieur Matsukawa qui se base sur une enquête réalisée par la Fondation du Japon. Cela dit, ils n’étaient que 476 en 1970, d’après Jean Bazantay de l’INALCO !

Léon De Rosny, orientaliste et auteur d’une introduction à l’étude de la langue japonaise le notait déjà en 1856 : même si le goût pour le Japon est prononcé dans la société française, les orientalistes de l’époque se tournent vers d’autres langues que le japonais. Il faut dire que l’insularité et la fermeture du Japon à l’étranger constituent de véritables obstacles à la diffusion de la langue.

 

« Des difficultés peu communes » ?

Restez zen… apprenez le japonais ! C’est en référence à cette fermeture du Japon au XIXème siècle, et donc au peu de diffusion des ouvrages japonais en Europe, que Léon De Rosny en 1863 évoque les « difficultés peu communes » qu’affrontent l’apprentissage de la langue.

L’écriture japonaise est, semble-t-il, la principale difficulté lorsque l’on débute. Les élèves doivent assimiler de nombreux kana (caractères syllabiques et combinaisons) et des kanji qui sont des caractères chinois utilisés en japonais. Il faut compter 9 ans pour qu’un élève japonais acquiert les 2000 caractères « pour l’usage courant », selon Jean Bazatay qui ajoute « la durée que réclame leur apprentissage pour un natif suffit à montrer le véritable défi que constitue la compétence idéographique pour un apprenant non natif ».

 

On comprend mieux, dès lors, la difficulté pour le ministère de l’Éducation nationale français d’établir les seuils d’apprentissage des idéogrammes et des programmes qui ne dissocieraient pas l’enseignement de l’écriture des autres compétences langagières. Les niveaux A1 à B2 sont ainsi définis par le nombre de kanji passifs et actifs acquis. La compétence active est la capacité à tracer un caractère sans modèle ; la compétence passive est la capacité à reconnaître un caractère et à le reproduire. En début d’apprentissage (A1), les élèves connaîtront 55 kanji passifs et à la fin du niveau B1, ils en liront 385 dont 235 actifs.

Malgré la difficulté que présentent la lecture et l’écriture, les professeurs à l’INALCO sont plutôt encourageants : la prononciation du japonais ne pose pas de problèmes majeurs aux francophones, la grammaire est aussi plus simple car les noms sont invariables et les modifications verbales sont rares. « C’est parfois cette simplicité qui déroute l’apprenant » renchérit Catherine Garnier.

Ainsi, pas de panique ! A l’approche de votre expatriation au Japon, il est encore temps de débuter, même à distance. Demain, dans un mois ou l’année prochaine, les inscriptions sont ouvertes toute l’année. Avec le Cned, vous restez libre et prendrez un moment de plaisir surprenant à vous atteler à l’une des langues les plus difficiles au monde. Restez zen… Le voyage commence ici !

Apprendre le japonais ou se perfectionner : découvrez la formation à distance du Cned !

 

Logo Cned

 

Ceci est un publi-rédactionnel.

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