À l’obtention du Baccalauréat, les étudiants disposent généralement de peu d’expérience professionnelle, ce qui est tout à fait normal. Par conséquent, il peut parfois être challenging de participer à des entretiens et de se mettre en valeur, que ce soit dans le cadre d’une candidature à une école supérieure, d’une demande de stage ou d’une recherche d’alternance.
L’ISCOM a décidé de partager ses conseils clés pour mettre en valeur son profil et son CV et être le candidat parfait.
Rédiger efficacement son CV
Lors de la rédaction d’un CV, il est crucial de prendre en compte que les recruteurs passent moins de 20 secondes à sa première lecture. Il faut donc opter pour un format aéré et lisible et bien différencier les différentes rubriques afin d’orienter le lecteur vers les informations essentielles.
L’en-tête du CV doit comporter le nom, prénom, l’intitulé du poste recherché, les dates de disponibilité et la nature du poste recherché (alternance, stage…). Elle peut éventuellement comporter une phrase accroche expliquant le projet, à actualiser en fonction de la candidature.
Les expériences professionnelles doivent être présentées de la plus récente à la plus ancienne. Le CV doit servir de déclencheur d’entretien, par conséquent, l’objectif n’est pas d’y inclure toute sa vie mais simplement d’y mettre les éléments pertinents. Pour chaque expérience, décrire ses réalisations, ses responsabilités, et s’appuyer sur des projets concrets.
Afin de maximiser son influence, il est essentiel, dans la section « Compétences » du CV, de faire une distinction entre les Soft Skills (compétences humaines) et les Hard Skills (compétences métier). Les qualités et soft skills les plus recherchées par les écoles supérieures incluent la curiosité, la capacité d’écoute et d’agilité. Pour ce qui est des Hard Skills, les attentes varient en fonction du niveau d’études et du domaine professionnel ciblé.
Certaines erreurs courantes, observées dans les CV par les écoles et les entreprises, peuvent être aisément évitées : fautes d’orthographe, mauvaise hiérarchisation des expériences, explications insuffisamment détaillées, manque de données chiffrées et de résultats sur les projets effectués.
Mais que faire lorsque l’on a peu, voire aucune expérience professionnelle ?
Plusieurs techniques permettent de valoriser une expérience limitée. L’expérience professionnelle antérieure ne revêt pas une importance « cruciale » dans un CV lorsque l’on sort du lycée. Par exemple, les projets académiques ne sont pas à négliger : projets scolaires, bénévolat dans l’école, micro-agence, titres de mémoire…
Ce qui importe, c’est l’expérience en général car elle constitue le premier indicateur. Il est essentiel de s’efforcer de penser au-delà des connaissances acquises dans le cadre d’une formation ou d’un travail. Des expériences liées à des activités sportives, associatives, personnelles etc. revêtent une importance significative.
Rédiger efficacement sa lettre de motivation
En règle générale, une lettre de motivation doit être structurée en trois parties distinctes. Dans la première partie, quelques lignes d’accroche sont indispensables pour évoquer l’entreprise ou l’école visée et montrer que l’on a effectué des recherches. Le paragraphe central doit mettre en avant l’expérience professionnelle acquise par le candidat et établir un lien avec l’offre proposée. Enfin, le troisième paragraphe a pour objectif de démontrer en quoi le candidat représente le choix idéal et ce qu’il peut apporter à l’entreprise.
Au-delà du CV et de la lettre de motivation, d’autres aspects du profil d’un candidat sont généralement examinés. Le profil LinkedIn, la personnalité, les activités et les passions sont autant d’éléments qui contribuent à définir un bon candidat.
Chaque activité présentée dans un CV s’associe à des valeurs qui pourraient susciter l’intérêt du recruteur pour une rencontre. Par exemple, si un candidat mentionne sa passion pour la lecture dans son CV, il est judicieux de spécifier aussi son autrice préférée ou son style de lecture favori. Ce genre de détails renforce grandement une candidature.
À quel moment est-il conseillé de commencer ses recherches d’alternance ?
L’ISCOM reçoit les offres de ses partenaires d’entreprise généralement vers le mois de mars, les premiers placements se concrétisant à cette période. Entre mars et juin, environ 80 % des placements en entreprise sont réalisés. Ainsi, un étudiant peut entamer ses recherches dès le mois de mars en vue d’une intégration en septembre.
L’ISCOM bénéficie d’un vaste réseau de partenaires tels qu’Orange, Moët & Chandon, Air France, Rolex, Disney, qui font confiance aux compétences des étudiants ISCOM. En interne, l’école collabore avec divers job boards et utilise des canaux comme JobTeaser, facilitant la mise à disposition rapide des dernières offres aux étudiants.
L’ISCOM accorde une importance capitale à l’accompagnement personnalisé. Le service Entreprises et Carrières organise des ateliers tout au long de l’année, notamment sur LinkedIn, le personal branding, ainsi que des ateliers dédiés au CV et aux lettres de motivation.
Il est essentiel que les candidats se fient au processus d’accompagnement de l’école. La spécificité de l’ISCOM réside dans sa stratégie et sa pédagogie, ce qui génère une confiance significative de la part de ses partenaires et les incite à recruter au sein de l’ISCOM.
Concernant les candidatures pour intégrer l’ISCOM, les étudiants peuvent postuler en ligne pour la 1ère, 2ème, 3ème, 4ème ou 5ème année via le site ISCOM. L’alternance est accessible dès la troisième année.
Les épreuves d’admission sont 100% digitalisées et réalisées à distance. L’ISCOM propose 4 sessions d’admission par mois, tous les mois de l’année. Pour obtenir un rendez-vous personnalisé avec un membre de l’admission, c’est ici. Pour découvrir les dates d’épreuves c’est ici.
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