Trois témoignages enthousiastes sur les formations en langues du Cned

CNED Certifications LanguesJaime, Martine et Dragan racontent leur expérience d’apprentissage des langues à distance avec le spécialiste en la matière : le Cned.

Et si, comme eux, vous vous lanciez ? Parler une nouvelle langue, rien de tel pour vous ouvrir des portes, tant dans votre vie perso que pro !

Organisme public de formation installé dans le secteur depuis plus de 80 ans, le Cned propose de nombreuses formations en langues pour les adultes. Or l’expatriation n’est-elle pas une occasion idéale pour se lancer dans l’apprentissage d’une – ou plusieurs ! – nouvelle langue ? Que votre motivation soit d’ordre professionnel (la ligne en plus qui fera la différence sur le CV) ou personnel, pour la beauté du challenge ou pour faciliter votre quotidien à l’étranger, toutes les raisons de s’y mettre sont bonnes ! 

FemmExpat a échangé avec trois inscrits du Cned qui suivent une formation en langue. Leur point commun ? Si leurs motivations, personnalités et contraintes sont différentes, ils partagent en revanche un immense enthousiasme et une grande satisfaction. Leurs témoignages apportent un éclairage concret sur ce qu’est l’expérience de l’apprentissage d’une langue via le Cned. Ils en sont de très bons ambassadeurs ! 

Tous trois ont choisi le Cned pour commencer l’apprentissage d’une nouvelle langue, et force est de constater qu’ils ont, tous trois, gardé au fil du temps la motivation de leur premier élan : après un an, Martine a terminé les 2 modules de Chinois Mandarin, Dragan termine le 3e module de Portugais et vise une certification qu’il aborde comme une simple formalité tant la formation du Cned l’a préparé à un niveau plus élevé -, et Jaime termine le 3e module de Japonais, après des débuts au printemps 2020. 

À la source des motivations

CNED Certifications LanguesMartine souhaite pouvoir communiquer avec la famille de sa belle-fille, chinoise – son fils est d’ailleurs expatrié à Dubaï. Récemment retraitée, elle fait déjà de la calligraphie chinoise pour la beauté du trait, et s’est équipée de diverses méthodes d’apprentissage du mandarin – sans parvenir à aller au bout.

Jaime, lui, voyant son voyage au Japon reporté à cause des confinements successifs, a décidé d’occuper cette attente en apprenant la langue. Il est bien décidé, lorsque ce voyage au Japon aura enfin lieu, à pouvoir échanger avec les habitants – parlant espagnol, il sait la valeur ajoutée de la maitrise d’une langue grâce à ses voyages en Amérique Latine. Jaime dispose de temps, il est lui aussi retraité.

Dragan, qui se décrit lui-même comme « un grand passionné des langues et des cultures qui leur sont liées », a porté son dévolu sur le portugais avec le Cned, qui est pour lui « une vieille connaissance » : il avait étudié l’italien de cette façon, lors de son service militaire, puis l’allemand et l’espagnol. Son moteur est un mélange de curiosité et une grande appétence pour les langues en général. Dragan est encore dans la vie active. 

Pourquoi le Cned ?

Aucun de nos trois témoins n’a la possibilité de s’immerger dans la langue qu’il étudie. En réalité, leur objectif premier est d’acquérir des premières bases solides, un socle pour développer la conversation dans un second temps. Pour tous, c’est la réputation de sérieux du Cned qui les a d’abord convaincus. « La réputation du Cned depuis des années parle pour elle » considère Jaime, pour qui l’institution est une véritable référence en matière d’enseignement à distance. « Le Cned a la réputation d’être difficile, pour moi c’est synonyme de cadre et de sérieux, je n’ai pas été déçu ! » a-t-il pu constater. « Les professeurs sont aussi exigeants que bienveillants » ajoute-t-il. 

Tous recommandent sans réserve l’expérience

« Il n’y a pas meilleur rapport qualité-prix », résume Jaime, et à l’écouter : « il ne faut pas hésiter ». « Le contenu de la formation est tellement riche que je vais y retourner, alors que j’ai terminé les modules », témoigne Martine, qui se décrit même comme « addict à ses cours de chinois par le Cned ». « Je ne m’attendais pas à une telle qualité de contenu, de supports, une telle densité ». C’est simple, elle ne tarit pas d’éloges.  

« Les supports de cours sont formidables », abonde Jaime. Martine apprécie avoir reçu en une fois par courrier tous les livrets d’apprentissage : « c’est un peu impressionnant au début, mais à l’usage, une fois la gymnastique acquise, quel plaisir d’avoir entre les mains tous ces documents si riches  ! ». Dragan, comme Martine et Jaime, a beaucoup apprécié les supports audios, qui permettent de progresser à l’oral, en se faisant l’oreille.  

La méthode est exigeante, elle requiert de s’y plonger sérieusement, et tous concordent à dire que les progrès sont au rendez-vous pour peu que l’on se donne les moyens de s’investir. « J’ai pu comparer mon niveau à celui d’élèves ayant suivi des cours collectifs en salle de classe depuis 2 ou 3 ans : quelle fierté de constater que mes bases en chinois sont aussi bonnes, voire meilleures, que les leurs ! » s’enorgueillit Martine, à raison. 

Comment s’organiser pour progresser ?

CNED Certifications LanguesPour nos deux jeunes retraités, le temps ne manque pas. Martine a « besoin d’un projet pour avancer », et cette fois-ci, ce sera l’apprentissage du Chinois. Elle a suivi les deux modules débutants en neuf mois, de manière intensive : « j’y passe avec grand plaisir 2 à 3h chaque matin, puis à nouveau 2 à 3h chaque après-midi » ajoutant « je n’aurais pas pu y passer des heures si ce n’avait pas été si bien fait ». CQFD ! 

Pour Jaime, même constat : « mon apprentissage du japonais, je vois ça comme un loisir, c’est pour moi un vrai plaisir ». « J’en suis au troisième module du cours, ce qui est bien la preuve que depuis que j’ai commencé au printemps 2020, j’ai bien progressé, à raison de 2 à 3 heures par jour. » démontre-t-il. 

Dragan, professeur toujours en activité, mise sur les périodes de vacances pour avancer. Il a ainsi commencé le dernier module de portugais en juin, y consacrant l’été, il fera une pause avec les mois de la rentrée et pourra terminer lors des vacances de la Toussaint. « À chacun de composer avec ses propres contraintes, résume-t-il. Lorsque je m’y mets, je sais que j’ai besoin d’avoir 4 à 5 heures devant moi car c’est ainsi que je fonctionne. » On retiendra son conseil : « avant de se lancer, il faut être capable d’estimer le temps que l’on peut y consacrer, en fonction à la fois de son mode de fonctionnement propre ainsi que des contraintes extérieures. » 

Quelle que soit l’organisation adoptée, nos trois témoins soulignent la grande flexibilité permise par la méthode Cned : « on commence quand on le souhaite, on mène l’apprentissage à son rythme, c’est un grand confort » ont-ils tous les trois spontanément précisé, en substance, lors de nos échanges. Et chacun témoigne également d’une motivation nourrie par les progrès constatés. 

Un suivi réactif et personnalisé

Jaime, Dragan et Martine ont beaucoup apprécié le suivi de leur tuteur/correcteur. « Les outils digitaux permettent une réactivité qui n’existait pas lors de mes premiers pas avec le Cned il y a des années, je mesure leur apport ! » s’enthousiasme Dragan. Martine a particulièrement apprécié les fichiers audio l’aidant à corriger sa prononciation, le chinois étant une langue où l’intonation est primordiale. « La richesse des réponses de mon tuteur est impressionnante » considère Jaime, ajoutant qu’il en a apprécié la réactivité. 

Tous trois se sentent prêts, grâce aux bases acquises avec le Cned, à aborder une nouvelle phase d’apprentissage davantage axées sur la conversation. 

Valeur ajoutée pour les expats et futurs expats

Ces élèves sont les meilleurs ambassadeurs de la méthode d’apprentissage du Cned. Que faut-il en retenir pour vous, expatriés, ou futurs expatriés  ?

  • La souplesse d’organisation : commencez quand vous le souhaitez (avant votre départ en expatriation, ou à votre arrivée sur place), selon votre propre agenda et vos contraintes personnelles et professionnelles (vous n’êtes pas assujetti à un calendrier scolaire).
  • La qualité de contenus efficaces pour acquérir de très solides bases : pour pouvoir se lancer dans la conversation dès votre arrivée en expatriation
  • Un suivi personnalisé et réactif : pour progresser vite et bien, et obtenir rapidement des réponses à vos questions.
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Ceci est un publi-rédactionnel.

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