Basée à Bruxelles, l’EIM (École Internationale Montgomery) fait désormais partie du groupe français Ermitage et trouve dans cette fusion un nouvel élan. Plus de ressources, plus de moyens et plus d’opportunités, pour les élèves comme pour les équipes enseignantes : Jim Doherty, CEO du Groupe, et Danielle Franzen Daoudy, directrice de l’EIM, nous ont expliqué comment ce rapprochement impactera positivement la vie de l’école et de ses étudiants.
L’EIM, une école accréditée pour l’IB
Toutes les écoles du groupe Ermitage sont accréditées pour le programme de l’International Baccalaureate (IB). L’EIM ne fait pas exception. Elle accueille des élèves de 4 ans et demi à 18 ans au sein du programme primaire (PYP), du programme de collège (MYP) et du programme diplômant du baccalauréat international (DP). Les élèves ont le choix entre le programme anglais – où ils suivent toutes les matières en anglais et apprennent le français via des cours de langue – et le programme « bilingue avancé ».
Dans le programme primaire bilingue, les unités de recherche sont enseignées dans les deux langues. Dans le programme secondaire « bilingue avancé », les étudiants suivent des cours de langue et littérature françaises, ainsi que d’histoire en français. Les élèves peuvent opter pour le programme « bilingue avancé » même s’ils ne maîtrisent pas parfaitement le français.
Jim Doherty : « Toutes nos écoles sont à taille humaine »
Jim Doherty est revenu avec nous sur ce qui fait l’ADN de chaque école du groupe Ermitage International School :
« Toutes nos écoles sont à taille humaine. C’est important pour nous, cela fait partie de l’ADN du Groupe. Notre priorité c’est le bien-être de nos élèves, juste avant la performance académique. S’ils ne sont pas à l’aise dans leur environnement, ils n’exploiteront pas tout leur potentiel, car ils ne pourront pas s’exprimer pleinement pour atteindre leurs meilleurs niveaux ».
La fusion va permettre aux écoles de partager certains coûts, comme ceux liés à la mise en place et à la gestion du back-office, et d’apporter des fonds supplémentaires. Ceux-ci serviront pour des travaux de rénovation dans le but d’offrir aux élèves un environnement favorable, ou encore pour des logiciels performants qui permettront aux équipes encadrantes de pouvoir se concentrer non pas sur l’utilisation et le bon fonctionnement des outils, mais uniquement sur leur pédagogie.
Danielle Franzen Daoudy ajoute :
« Grâce à la fusion, nous allons organiser des réunions de travail entre professeurs pour échanger sur les problématiques que chacun peut rencontrer et trouver des solutions. Le programme des enseignants change tous les sept ans et c’est toujours un moment un peu stressant. Les échanges de bonnes pratiques, notamment à ce moment-là, seront un plus pour intégrer les nouveaux sujets et envisager une manière de les aborder à travers les différents retours d’expérience. »
De nouvelles opportunités pour les élèves
La fusion de l’EIM avec le groupe Ermitage permet ainsi aux élèves de s’inscrire non pas dans le cursus d’une école, mais de plusieurs écoles, ce qui multiplie les opportunités d’apprentissages.
« Nous allons pouvoir proposer aux élèves plus de choix de cours et leur permettre également de visiter les écoles et d’organiser des échanges », précise Danielle Franzen Daoudy. Les professeurs bénéficieront aussi de formations qualifiantes que seul un Groupe pourrait leur offrir.
La richesse des différences cultivées
En fusionnant, les écoles du groupe Ermitage n’entendent pas devenir la copie l’une de l’autre et proposer les mêmes programmes, les mêmes méthodes, le même encadrement pédagogique. Au contraire, en fusionnant, les écoles du Groupe ont pour ambition de cultiver leurs différences pour faire progresser encore leur enseignement. Jim Doherty explique :
« On ne veut pas imposer une méthodologie globale pour toutes nos écoles, mais on souhaite apprendre de chacune d’elles. Nos diversités nous amènent à nous interroger sans cesse sur le fond comme sur la forme. »
L’IB : le diplôme qui s’inscrit dans le futur
Les écoles du Groupe proposent aux élèves de s’inscrire dans le cursus de l’IB (International baccalaureate). En expansion depuis quelques années, ce diplôme permet aux inscrits d’aborder différemment les connaissances d’un enseignement dans le secondaire. Jim Doherty développe :
« Avec l’IB, nous intéressons les élèves aux faits, mais nous les invitons aussi et surtout à gagner en autonomie et en indépendance dans leur apprentissage en leur laissant l’opportunité de s’exprimer pleinement et en stimulant leur esprit critique. C’est un système qui s’inscrit parfaitement dans le futur. »
Tout comme l’EIM le réalise avec cette fusion, qui lui offre les avantages d’appartenir à un Groupe, tout en conservant ceux d’une école à taille humaine.
Ceci est un publirédactionnel
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